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Les matchs de football du Racing sont souvent organisés à partir de 2006 sur le terrain Lucien-Choine, annexe du stade Yves-du-Manoir, d’une capacité de 1 000 places, dont 200 assises. En 1998, le club omnisports annonce son souhait de vendre le stade Yves-du-Manoir, maillot rc strasbourg qu’il n’a pas les moyens de rénover. Le 2 août 2017, le Racing annonce une prolongation de deux années de son partenariat avec le groupe Severin, fabricant allemand d’appareils électroménagers. Rudi rejoint finalement son club après six mois de bouderie, et peut fêter avec ses coéquipiers le titre de champion de France. L’affaire traîne plusieurs mois. Le trophée du joueur du mois est décerné en fonction d’un vote des internautes du site officiel du club. « stade olympique de Colombes » en 1924, puis « stade olympique Yves-du-Manoir » en 1928, du nom d’Yves du Manoir, un joueur international français de rugby du Racing mort tragiquement quelques mois plus tôt. Avec la descente du club dans les niveaux amateurs et l’hégémonie du Paris Saint-Germain sur le football francilien, le Racing voit ses affluences se réduire de plus en plus. Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article intitulé « Histoire du Racing Club de France Football » (voir la liste des auteurs).

Le bilan des Racingmen est de 374 sélections, pour 64 buts marqués. En 1948 et en 1950, respectivement 43 374 et 56 541 spectateurs se déplacent à Colombes pour des quarts de finale de Coupe. Au début des années 1950, le Racing dispose de joueurs de premier plan. En 1989 et 1990, tous ces joueurs quittent le club à la suite du retrait de Matra et la quasi-faillite du club. Ces deux derniers ne restent qu’un an cependant. L’ailier Alfred Aston est un des internationaux français du Racing à cette époque, mais il manque les deux finales de Coupe. L’affluence cumulée de la saison à domicile est de 523 608 spectateurs pour vingt-trois matchs, soit une moyenne de 22 766 spectateurs par match. Localisation du stade olympique Yves-du-Manoir de Colombes par rapport à la ville de Paris. Le Racing partage le stade de la porte d’Auteuil avec le CA Paris puis le Stade français. ↑ Pierre Arnaud, Le Sport et les Français pendant l’Occupation.

Pour conjurer cette double peine, les instances dirigeantes font un recours auprès du Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF). L’équipe remporte également cette saison-là la Coupe de France. ↑ a b et c Gérard Ejnès, « Reims, deux grands crus », dans Coupe de France : La folle épopée, L’Équipe, 2007, p. ↑ « Saison 1985-1986 », sur Allez Racing ! ↑ a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Damien Degorre, « Racing Club de Paris. Promu en première division en 1984, le Racing de Lagardère fait son retour au Parc des Princes, complètement reconstruit en 1972 et dont le Paris Saint-Germain et le Paris FC sont devenus les résidents. Malgré la contenance supérieure du stade de Colombes, le RC Paris, créé en 1932 en tant que section professionnelle de football du Racing Club de France, va plutôt évoluer au Parc des Princes, plus proche de Paris et rénové largement cette année-là (sa capacité se monte alors à plus de 40 000 places), voire au stade Jean-Bouin.

↑ Les 20 000 sont dépassés en 1958-1959 et 1960-1961 et le Racing conserve la meilleure affluence saisonnière de 1955-1956 à 1963-1964. Source : stades et spectateurs. ↑ a b c d e et f Descamps 2007, p. », dans Coupe de France : La folle épopée, L’Équipe, 2007, p. ↑ « La web radio de votre quotidien », Les Dernières Nouvelles d’Alsace, 3 août 2008, région (lire en ligne). Le club a été fondé en 1900 sous l’appellation FC Frankonia 1900 Straßburg, alors que la région était sous autorité allemande. Capitale de la région historique d’Alsace, elle est bordée par le Rhin et directement frontalière avec l’Allemagne. Plombé par les résultats sportifs du club, le projet ne voit pas le jour. « On parle du Racing comme on parle de la cathédrale, les Alsaciens sont fiers de leur club, c’est comme un monument. Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Joueur du Racing Club de Strasbourg. La LAFA organise les compétitions entre clubs à l’échelon de l’Alsace, quelle que soit la catégorie d’âge. ↑ a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t et u Collectif, « Racing », dans Dictionnaire historique des clubs de football français, t.